Anglais, Ecossais, Irlandais, Gallois, Canadiens, Sud-Africains, Australiens, Neo-Zelandais, nombreux sont les soldats de Grande-Bretagne et du Commonwealth a etre volontaires en 1916 pour attaquer sur le front en Picardie, alors que leur implication dans le conflit n'avait rien d'evident en 1914. Le 1 er juillet 1916, plus de 20 000 d'entre eux perdent la vie sur le champ de bataille de la Somme, venant en aide a une armee francaise epuisee par Verdun. C'est le jour le plus meurtrier de toute l'histoire britannique et la ...
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Anglais, Ecossais, Irlandais, Gallois, Canadiens, Sud-Africains, Australiens, Neo-Zelandais, nombreux sont les soldats de Grande-Bretagne et du Commonwealth a etre volontaires en 1916 pour attaquer sur le front en Picardie, alors que leur implication dans le conflit n'avait rien d'evident en 1914. Le 1 er juillet 1916, plus de 20 000 d'entre eux perdent la vie sur le champ de bataille de la Somme, venant en aide a une armee francaise epuisee par Verdun. C'est le jour le plus meurtrier de toute l'histoire britannique et la reconnaissance de ce sacrifice a ete a l'epoque - et est restee depuis - relativement mince en France, alors que ce sombre anniversaire est celebre outre-Manche, illustrant combien les memoires collectives nationales different.Croisant les archives francaises et anglaises pour tenter de comprendre pourquoi et comment tant d'hommes sont morts, Jean-Michel Steg rend a cet episode sa place capitale dans la memoire de la Grande Guerre. Etudiant a l'EHESS, Jean-Michel Steg travaille depuis trente-cinq ans dans le monde de la finance et a publie, en 2013, Le jour le plus meurtrier de l'histoire de France, 22 aout 1914. Preface de John Horne, Fellow emerite de Trinity College
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