27 000 Fran???ais sont tu???s le 22 ao???t 1914, le jour le plus sanglant de l'histoire de France. C'est quatre fois plus qu'??? Waterloo, autant que durant les huit ann???es de la guerre d'Alg???rie. Avant m???me la bataille de la Marne, Verdun ou le Chemin des Dames. O??? donc ces hommes ont-ils disparu ? Dans quelles circonstances ? Un nombre de tu???s en une seule journ???e, sans pr???c???dent dans l'histoire de France et sans exemple depuis, ne peut ???tre une simple bizarrerie statistique. C'est l'ambition de ce ...
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27 000 Fran???ais sont tu???s le 22 ao???t 1914, le jour le plus sanglant de l'histoire de France. C'est quatre fois plus qu'??? Waterloo, autant que durant les huit ann???es de la guerre d'Alg???rie. Avant m???me la bataille de la Marne, Verdun ou le Chemin des Dames. O??? donc ces hommes ont-ils disparu ? Dans quelles circonstances ? Un nombre de tu???s en une seule journ???e, sans pr???c???dent dans l'histoire de France et sans exemple depuis, ne peut ???tre une simple bizarrerie statistique. C'est l'ambition de ce travail d'apporter quelques explications. Ce cataclysme meurtrier au tout d???but du conflit traduit-il les cons???quences de choix individuels et collectifs, tactiques, strat???giques ou organisationnels erron???s, ou tout simplement malheureux ? Comment les militaires en viendront-ils ??? accepter que, face ??? la l???talit??? du feu au XXe si???cle, le soldat ne peut plus mener la guerre dress??? sur le champ de bataille, comme il le faisait depuis l'Antiquit???, mais doit d???sormais combattre enterr??? et dissimul??? ? Pour le savoir, il faut suivre Jean-Michel Steg dans les Ardennes belges le matin 22 ao???t 1914.???tudiant ??? l'EHESS, Jean-Michel Steg travaille depuis trente-cinq ans dans le monde de la finance.
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